mercredi 18 janvier 2012

La Duchesse et moi - Chap 1

La Duchesse et moi

Chapitre 1 : La découverte

Je travaillais pour La Duchesse de Conterville. Une très belle femme de 35 ans, brune, les cheveux longs, ondulés. Les yeux bleus lagons, d’une beauté hallucinante. Elle était toujours très bien habillée, dans les plus belles robes, elle avait une classe folle. C’était une femme très sûre d’elle, elle pouvait parfois être très sévère. Elle n’avait pas de compagnon. Ce qui m’étonnait au début. Puis elle ne s’entourait que de femmes. De jeunes femmes comme moi. Souvent de jeunes filles qui avaient à peine la vingtaine. Sa cuisinière, ses femmes de chambre, sa comptable, sa chauffeuse, sa jardinière et moi. J’étais son assistante personnelle en quelques sortes. Je venais d’arriver quelques jours auparavant. Je remplaçais la précédente qui s’était faite virée pour des raisons que je ne connaissais pas.
J’étais très impressionnée par la Duchesse au début, mais j’ai rapidement réalisé que le boulot n’était pas si difficile. Puis elle était assez indulgente avec moi. Je me suis dit que la précédente avait dû faire quelque chose de très grave pour se faire virer. Je n’allais pas tarder à le savoir et à découvrir la face cachée de cette femme.

Un soir elle m’a invité à diner à sa table, chose qui apparemment n’arrivait que très rarement. Elle s’était habillée dans une magnifique robe du soir en voile noir, très légère. A chacun de ses mouvements gracieux, on avait l’impression qu’elle volait. A table nous avons échangé quelques mots. Après un repas absolument somptueux, et quelques verres d’un vin rouge délicieux, elle a pris un ton sérieux pour me parler.
-          Amélie ma chérie. Je suis très contente de toi et de ton travail. Mais ceci n’est qu’une partie seulement de ce que j’attends de toi.
-          Merci madame, mais que voulez-vous dire ?
-          Je ne pouvais pas t’en parler avant, il fallait qu’une relation de confiance s’établisse entre nous. Voilà, je voudrais d’offrir un plus grand rôle à mes côtés, moyennent bien sûr une hausse conséquente de ton salaire.
-          A oui ?
J’étais tout excitée à l’idée de ce qui semblait être une belle promotion !
-          Vois-tu, je suis une femme pleine d’amour. J’ai beaucoup d’amour à donner, mais aussi à recevoir
A ce moment j’ai cru qu’elle allait me demander de l’aider à lui trouver son prince charmant. L’idée ne me déplaisait pas et c’est surtout la hausse conséquente de salaire qui me motivait pas mal. Je commençais déjà à me demander comment j’allai m’y prendre quand le fil de mes pensées à  été interrompu net, lorsqu’elle m’a annoncé :
-          J’aime les filles. Les jeunes filles comme toi…
Un frisson m’a parcouru le corps. Je commençais à être inquiète !
-           Ce que j’aimerai de toi à partir de maintenant, ce de m’aider à combler cet amour.
-          Mais… mais, comment ?
-          Et bien, de temps en temps je te demanderai de faire certaines choses.
-          Quelles sortes de choses ?
Quelques secondes interminables se sont écoulées avant qu’elle ne reprenne :
-          Par exemple et de me laisser te regarder… nue.
-          Nue ?!
-          Tu es libre de refuser dés maintenant, mais je devrai te laisser partir définitivement.
J’étais toute chamboulée je ne savais pas quoi dire !
-          Mais si tu acceptes, tu devras faire tout ce que je te dis. Et tout ça ne devra pas sortir du château bien entendu.
Elle m’a regardé en me souriant tendrement avant d’ajouter :
-          Ne t’inquiètes surtout pas, il ne s’agit que de plaisir, pour moi, mais aussi pour toi. Tu n’as aucuns soucis à te faire.
Puis elle s’est levée et a rajouté :
-          Maintenant, je vais me retirer pour te laisser y réfléchir. Quand tu auras pris ta décision, soit tu prendras tes affaires et tu quitte le château, soit tu restes… et tu enfiles ce qu’il y a dans ce sac. Je t’attends dans le salon. J’espère que tu prendras la bonne décision ! »
Elle s’apprétait à sortir de la pièce, mais juste avant de refermer la porte derrière elle, elle m’a dit :
-          Ah oui, ton salaire sera multiplié par quatre !

Je suis restée bouche bée au moins dix minutes. J’étais seule dans cette grande salle à manger, il n’y avait plus que le bruit de l’horloge. Je me suis resservit du vin et j’ai allumé une cloppe. Visiblement, ce n’étais pas un refus catégorique, puisque j’étais encore là. Je me suis mise à réfléchir. Le salaire était très très alléchant. Je me disais que je pouvais me mettre nue pour ce prix là. Dans l’absolue je me sentais capable de le faire. Mais tout ça était si précépité. Et puis je me disais que si je refusais, j’allais regretter une situation financière très confortable.
J’ai réfléchit pendant une heure, j’avais bu 3 verres de plus et fumé une dizaine de clopes. J’étais saoûle et cela m’a sûrement aidé à prendre ma décision.
Je me suis levée et j’ai ouvert le sac. J’ai regardé ce qu’il y avait dedans. C’était de la lingerie. Une sorte de nuisette noire à dentelles roses, très transparante pour le haut. Des bas assortis, des chaussures à talon magnifiques et un collier de diamants !
Mais il n’y avait pas culotte ! J’ai pourtant cherché partout dans le sac, je n’ai rien trouvé de plus…


Je suis allé me servir un dernier verre et je me suis déshabillée. J’étais extrêment stressée.
Voilà, j’étais prête. Je me suis regardée dans le mirroir. Cela m’allait plutôt bien, mais je n’étais vraiment pas à l’aise. J’ai pris en grande bouffée d’air, j’ai fermé les yeux un instant. Puis je me suis lancée !
La porte du salon était entre ouverte. Je l’ai poussée. La Duchesse était là, sur un grand fauteuil avec une cigarette au bout d’un long porte cigarette dans une main, et un verre de champagne dans l’autre. Elle m’a fait un grand sourrir, elle avait l’air soulagée et heureuse de me voir.
-          Ferme la porte derrière toi et viens plus près ma belle, tu es sublime !
Me voilà presque nue devant ma patronne. La chatte à l’air. Elle me regardait de haut en bas, un sourir en coin. Puis ses yeux se sont arrétés sur mon pubis.
-          Je préfère les filles naturelles comme toi. Moi non plus je ne m’épile pas entièrement le sexe, je me fais juste le maillot.
Puis elle a remonté sa magnifique robe jusqu’à son bas ventre pour me montrer son sexe. Elle ne portait rien en dessous. Elle avait une belle touffe de poils noirs et soyeux, qui reflétaient la lumière tamisée de la pièce.
Je l’ai regardé, j’avais la gorge nouée et la bouche sèche. J’ai difficilement déglutit.
Ses jambes étaient magnifiques. Elle avait des chaussures à talon avec des lacés en cuirs qui remontaient le long de son mollet en croisillons, c’était très sexy.
Puis elle a posée une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil. Son sexe s’est légèrement ouvert. J’ai aperçu ses lèvres roses entre les poils. J’ai vite détourné le regard, extrêmement gênée !
Elle m’a sourit en voyant que j’étais devenue tout rouge, puis elle a délicatement passé sa main dessus.
-          Amélie, tu veux bien te tourner s’il te plait ?
J’ai obéit, je me suis tournée maladroitement.
-          Mmhh que tu as de jolies fesses ! Toutes blanches ! Comme c’est mignon. Viens plus près et assied toi sur ce fauteuil.
Elle me montrait un fauteuil en face d’elle, je m’y suis installée.
-          Maintenant, écartes tes jambes et laisse moi voir ton minou
J’ai timidement entrouvert les jambes.



Elle a regardé, la bouche légèrement ouverte la bouche. En même temps, elle se passait un doigt entre les lèvres de sa chatte.

Elle respirait fort en laissant parfois échapper un petit gémissent. Elle faisait tourner ses doigts sur sa chatte. Parfois je surmontais ma gêne et je regardais son sexe se faire masturbé. La chair de ses lèvres se détendait sous la pression de ses doigts. Elle mouillait de plus en plus. Puis, le front plissé et les yeux dilatés, elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit :
-          Lève les jambes bien hautes. Tiens les contre ton corps et écartes bien !
Je n’osais pas dire non, mais je n’étais vraiment pas à l’aise. Je l’ai fait, maladroitement. J’ai levé une jambe, puis l’autre. Mes fesses grinçaient contre le cuir du fauteuil. J’ai sentit un petit courant d’air sur mon sexe qui venait de s’ouvrir. Je tenais mes jambes derrière les genoux pour les maintenir en l’air, j’étais assez souple.
La Duchesse s’est levée, elle a enlevé sa robe en la laissant glissé le long de son corps, et, ne portant plus que ses chaussures, s’est approchée de moi. Elle s’est accroupie à quelques centimètres de moi. Elle fixait ma chatte du regard, sans rien dire. Puis j’ai vu sa main glisser entre ses cuisses. La bouche entre ouverte, elle se doigtait en observant mon sexe nu. Elle se masturbait de plus en plus fort. J’entendais le bruit de sa main sur sa chatte  mouillée. Elle poussait de légers « mmhh » à peine audibles. Je la regardais me regarder la chatte. Parfois elle approchait le visage pour humer le parfum de mon entre-jambe. Il y avait quelque chose de terriblement excitant malgré que je me sente terriblement génée. Mais le fait que je procure autant de désir chez cette magnifique femme que j’admirais beaucoup, me flattait. Puis j’ai senti une goutte s’échapper de mon vagin et couler sur mon anus. Elle l’a vu. Puis elle a fait quelque chose que je ne me serais jamais cru capable d’accepter. Elle m’a regardé de ses grands yeux bleu, a approché sa bouche de mon anus. Elle a sortit sa langue puis a léché la goutte qui s’y était déposée. Tout mon corps s’est crispé en sentait cette chose chaude et humide sur mon anus. Un petit cri aigue s’est échappé de ma bouche.
Mais ne voyant aucune réelle protestation de ma part, elle m’a sourit, m’a regardé droit dans les yeux, puis a recommencé. Moi, j’avais la bouche grande ouverte et la respiration courte et saccadé. J’ai laissé échapper un second cri aigu en sentant sa langue sur mon cul. Elle a recommencé, encore, et encore. Nous nous regardions dans les yeux. Parfois je regardais sa langue faire des allers et venues sur mon anus.
Je commençais à ressentir un plaisir intense, c’était perturbant ! Ma chatte, elle, semblait apprécier. Elle était ouverte comme une fleur, l’intérieur rose contrastait avec les poils noirs tout autour. Elle mouillait et je sentais des gouttes de plus en plus abondantes couler sur mon anus, aussitôt récupérées par la langue de la Duchesse.
 En voyant que je ne manifestais aucun resistance à ce qu’elle me faisait, elle s’était mise à me lécher franchement le cul. Sa langue chaude et humide me faisait un bien fou ! Et de plus en plus, alors qu’elle la faisait à chaque fois remonter un peu plus vers ma chatte. J’ai laissé ma tête tombée en arrière et j’ai fermé les yeux. Je me tenais les chevilles, les jambes recroquevillées contre mon corps. J’entendais la duchesse gémir enter mes jambes. Moi je poussais de longs soupirs sonores que je n’arrivais plus à contenir.
Soudain, un énorme frisson m’a parcouru le corps. Je me suis demandé ce qu’il se passait. J’ai regardé et la Duchesse m’avait prise la chatte à pleine bouche ! Je sentais sa langue tournoyer à l’intérieur de ma chatte bouillante ! Mes lèvres inférieures se faisaient bringuebaler dans tous les sens. C’était très fort ce que je ressentais à tel point que j’étais obligée de me mordre la lèvre inférieure pour contenir des hurlements. Je la regardais faire. Elle était très concentrée sur ma chatte. Je crois qu’elle se masturbait en même temps. J’entendais sa paume claquer entre ses jambes.
J’ai sentit sa langue me pénétrer et je n’arrivais plus à me retenir de crier, c’était trop fort !
-          EEENNNNNHH ! AAAAAAHHHH !




 Mon entrejambe n’avais jamais ressentit de telles décharges de jouissances de toute ma vie ! Je sentais sa langue bouger à toute allure en moi. L’orgasme montait ! J’hurlais ! Elle me bouffait sauvagement ! Je ressentais de violents spasmes ! Puis c’est quand elle a empoigné mon pubis que tous les muscles de mon corps se sont crispés. Je me suis cambrée, avant de tout lacher et de pousser un cri de lionne en chaleur. Je venais d’avoir un orgasme incroyable ! J’ai attrapé la Duchesse par les cheveux pou la maintenir contre ma chatte. Je n’ai pas réalisé ce que je faisais sur le coup. Lorsque l’orgasme s’est apaisé, j’ai repris mes esprits, j’ai laché prise et je me suis confondue en excuses.
Elle m’a sourit en s’essuyant la bouche. Je lui avais complètement aspergé la geule, ce qui ne semblait pas lui déplaire :
« Et bin, toi quand tu prends du plaisir tu ne fais pas semblant ! »
Elle a remis sa robe le long de ses jambes, comme si de rien n’était. Sauf que moi j’étais encore affalée sur le fauteuil, à moitié nue et trempée de sueur.
Et juste avant de quitter la pièce, elle m’a dit
« Je pense que nous allons faire un bonne équipe ».

A SUIVRE...

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